Le 10 juillet s'est trouvé être le dernier jour de rencontre pour les stagiaires d'Ijely. Deux groupes ont fonctionné sur les deux semaines : celui du matin, les instituteurs des écoles primaires de brousse dépendant du district (paroisse) d'Ambotitanimena, environ vingt-cinq personnes, et le groupe de l'école-collège d'Ijely, une bonne quinzaine de personnes, fonctionnant l'après-midi.
Pour l'essentiel ce fut du travail sur l'expression en français, avec des incursions pour quelques uns vers l'informatique ou la physique.
Comme partout, mais plus particulièrement à Madagascar, la fin ne se conçoit pas sans « cérémonie ». Discours et cadeaux font partie du rituel, ainsi que le rafraîchissement. Chants et danses peuvent aussi agrémenter ce moment où une certaine tristesse pourrait prendre le dessus.
Ainsi nous avons eu droit à deux séances de clôture pour l'activité officielle conduite ici à Ijely.
A titre d'illustration voici les quelques mots de Jeannette (privilège de l'âge, ce fut à elle de parler au groupe des instituteurs de brousse), qui expriment bien l'état d'esprit d'une « nouvelle » à Madagascar :
« Notre séjour se termine, le coeur un peu « serré ».
Après l'appréhension du début, un premier contact avec les enseignants d'Ijely et ceux de la brousse, tout est devenu facile : l'accueil chaleureux des Malgaches, l'envie de bien parler le français, les discussions enrichissantes sur nos deux pays, le partage de nos cultures et des temps de prière.
C'est donc avec beaucoup de regret et d'émotion que nous quittons Ijely, mais avec l'espoir (qui sait ?) d'y revenir un jour... »
Chantal de son côté précisera :
« Arrivés à Mada, ce qui frappe d'abord, c'est le paysage, le rouge, le vert, et le ciel bleu sans nuages. Puis les chemins façonnés par les taxis, les vélos … et les pieds ! Enfin on voit ces hommes, ces femmes, ces enfants, souriants, et accueillants au vazaha de passage. »
Comme on le constate une fois plus, Madagascar, physiquement et humainement conserve un pouvoir de séduction, et les soubresauts politiques n'y changent rien.
Depuis Martine, Jeannette et Chantal ont rejoint Mahajanga pour une autre tranche de leur voyage.
Pour l'essentiel ce fut du travail sur l'expression en français, avec des incursions pour quelques uns vers l'informatique ou la physique.
Comme partout, mais plus particulièrement à Madagascar, la fin ne se conçoit pas sans « cérémonie ». Discours et cadeaux font partie du rituel, ainsi que le rafraîchissement. Chants et danses peuvent aussi agrémenter ce moment où une certaine tristesse pourrait prendre le dessus.
Ainsi nous avons eu droit à deux séances de clôture pour l'activité officielle conduite ici à Ijely.
A titre d'illustration voici les quelques mots de Jeannette (privilège de l'âge, ce fut à elle de parler au groupe des instituteurs de brousse), qui expriment bien l'état d'esprit d'une « nouvelle » à Madagascar :
« Notre séjour se termine, le coeur un peu « serré ».
Après l'appréhension du début, un premier contact avec les enseignants d'Ijely et ceux de la brousse, tout est devenu facile : l'accueil chaleureux des Malgaches, l'envie de bien parler le français, les discussions enrichissantes sur nos deux pays, le partage de nos cultures et des temps de prière.
C'est donc avec beaucoup de regret et d'émotion que nous quittons Ijely, mais avec l'espoir (qui sait ?) d'y revenir un jour... »
Chantal de son côté précisera :
« Arrivés à Mada, ce qui frappe d'abord, c'est le paysage, le rouge, le vert, et le ciel bleu sans nuages. Puis les chemins façonnés par les taxis, les vélos … et les pieds ! Enfin on voit ces hommes, ces femmes, ces enfants, souriants, et accueillants au vazaha de passage. »
Comme on le constate une fois plus, Madagascar, physiquement et humainement conserve un pouvoir de séduction, et les soubresauts politiques n'y changent rien.
Depuis Martine, Jeannette et Chantal ont rejoint Mahajanga pour une autre tranche de leur voyage.
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